✽ Messages : 258 ✽ Date d'inscription : 11/01/2014 If you feel like falling down, I'll carry you home.Luna | Sujet: (M) I feel the love and I feel it burn. Ven 2 Mai - 20:39 | |
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Adriàn prenom² nom You think ‘Okay, I get it, I’m prepared for the worst’, but you hold out that small hope, see, and that’s what fucks you up. That’s what kills you.
@http://heckyeahjulianmorris.tumblr.com/CARACTÈRE/MANIES : Adriàn a été élevé par deux parents très stricts le poussant a donner toujours le meilleur de lui même. C'est peut être de là qu'il tient son optimise légendaire. Il préfère toujours voir le positif dans les moments difficiles ou chez les gens. Très jeune il a vite développé des capacités intellectuelles poussé. A 4 ans il lisait ses premiers livres qui devinrent vite son échappatoire face a la vie étriqué de ses richissimes parents, qui virent d'un très mauvais œil son choix de devenir professeur de littérature. Mais ce passionné veut transmettre son ressentit aux autres et toucher ses élèves. Il s'investit énormément dans son travail. Il ne cherche pas comme ses géniteurs a gagner de l'argent a tout prix et mène une vie de célibataire très simple, avec son compagnon Oscar, son chat. C'est quelqu’un de très doux et calme qui fuit la violence et les disputes. Il est diplomate et discret. Timide de nature il n'ose pas faire le premier pas vers les femmes, qu'il n'a pas connu nombreuses. | Nom : Je n'ai pas du tout été inspiré Je vous laisse choisir, je le voyais bien avoir un nom anglais par son père Je crois même que j'ai mis mr. x dans le scénario Prénom(s) : Donc pour faire contraste je le voyais bien avoir une mère italienne donc pour le prénom ce sera Adriàn Si vus n'aimez pas on peut en discuter sans problèmes je ne suis pas fixé Âge : Minimum 28 ans, je pense même qu'en se basant sur Théo on peut partir sur 29,30 ans Statut civique : Comme vous voulez je le voyais bien avoir un passé assez compliqué avec une ex fiancé, ça peut pimenter les choses qu'il soit toujours fiancé, ou marié. Après il faudra quand même respecter mon scénario Avatar : J'hésite entre les deux hommes de ma vie, d'un côté Julian que je trouve parfait et j'adooore le duo avec Nina je les trouve beau ensemble et j'ai écrit le rôle en pensant a sa bouille magnifique De l'autre Jamie la bombasse humaine, qui colle parfaitement au prof irrésistible C'est le choix de Sophie
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❝TITRE POUR LA PARTIE RACONTE TA LIFE❞
Trop souvent, ce qu’on désire le plus au monde, est justement ce que l’on ne peut pas avoir. Le désir parfois, peut vous briser le cœur, vous anéantir. Le désir peut faire de votre vie en enfer. C’est dur de vouloir quelque chose qu’on ne peut pas avoir....
Les cours avaient repris depuis maintenant deux mois, et si pendant quelque temps Lyla avait craint de sentir une différence entre la fin du lycée et sa nouvelle école, il n’en était rien. La belle avait été admise dans une école très bien quotté de Providence, pour y suivre des cours de stylisme en grande partie. L’enseignement était réputé pour être l’un des meilleurs du pays, et au prix demander pour intégrer la prestigieuse académie, ce n’était que justifier. En ce mardi matin, les jeunes filles, car la classe se composait uniquement de demoiselles, se trouvaient a leur cours de littérature. « J’adore son accent anglais. » Lyla avait beau être tête de classe, il y’avait un cours ou elle n’arrivait pas à garder sa concentration, et c’était celui dispensé par Simon. Le trentenaire entamé ici sa première année d’enseignement et ne laissait guère indifférente la gente féminine, dont Lyla. La brunette en général discrète, ne s’était jusqu’alors, pas gêné pour faire comprendre a son professeur qu’il lui plaisait. Alors que la sonnerie, signifiant la fin du cours retentissait, le jeune homme interpella son élève. « Lyla, je peux vous voir s’il vous plait ? » Celle-ci eut un regard entendu avec une de ses amies, et attendit que tout le monde sorte, pour descendre de l’amphithéâtre et le rejoindre. « Vous vouliez me voir, professeur ? » Susurrât-elle avec un grand sourire. Il sortit une copie de son sac et la glissât sur le bureau. « Très bon devoir. » Le sourire de la belle s’élargit en voyant le A qui trônait fièrement sur sa copie. « J’aimerais le présenter, à un concours de jeune talent, lancé par l’académie. » Continuât-il alors, que Lyla ne l’écoutait même plus. Son visage se décomposait au fur et a mesure de l’explication de son professeur. « C’est pour ça que vous m’avez fait rester, pour que je fasse un stupide concours ? » Une grimace défigurait les traits fin de son visage, et même avec cet air de dégoût, elle restait attirante a ses yeux. « C’est une immense opportunité, je pense que vous ne saisissez pas… » La jeune femme ne le laissât pas continuer, lui arrachant le papier des mains. « Ça ne m’intéresse pas… Merci quand même. » Il savait très bien que ce n’était pas ce qu’elle attendait de lui, et si il s’écoutait, ils auraient une toute autre conversation, mais c’était son élève, et aussi belle soit-elle il avait prêté serment. « Lyla... Vos professeurs ont remarqués un changement d’attitude. Tout va bien ? » C’était une petite ville, et tout le monde se connaissait, il avait donc appris pour la crise cardiaque de son père cet été, mais depuis tout semblait être rentré dans l’ordre. « Qu’est ce que ça peut vous faire ? Vous vous en fichez de moi… » La déception perçait dans sa voix. Il avait envie de quitter son bureau et venir la prendre contre lui pour la rassurer mais cela lui était impossible. Elle éveillait en lui un besoin de la protéger. Il lui semblait qu’elle cachait beaucoup sous cette apparence de fille populaire et bonne élève. Et a dire vrai, il n’avait pas discuté de son cas avec des collègues. Il ne pouvait s’empêcher de l’observer. La perte de poids, les cernes sous ses yeux ne lui avaient pas échappé. « Je m’inquiète pour toi. » Dit-il d’une voix douce. C’était la première fois qu’il la tutoyait perdant un instant cette barrière de prof élève. Il passât doucement sa main le long de son bras. Sa peau était douce. Il était à deux doigts de laisser sa main glisser le long de la sienne, et s’en saisir, mais elle se retirât brusquement. « Vous ne devriez pas faire ça ! » Sa voix était âpre et le ramenât immédiatement à la réalité de la situation. « Vous avez raison, je m’excuse. » Peut être avait t’il mal interprété ce qu’il avait prit pour un flirt de la part de la jeune femme. « Réfléchissez au concours, et si vous éprouvez le besoin de parler, je suis là. » Les prunelles de la jeune femme se radoucirent. Il remarquât en cet instant a quel point elle avait l’air fatigué. « Vous savez très bien que je n’ai pas envie de parler école, ou concours avec vous. Ce que je veux vous ne pouvez pas me l’apporter, alors évitez d’être aussi gentil avec moi… Ça rend les choses plus difficiles encore. » Sur cette phrase énigmatique elle quittât la salle sans un regard pour lui. Il réprimât l’envie de la rattraper et lui avouer qu’il ressentait la même attraction qu’elle...
- Spoiler:
Tu ne sais jamais que le dernier baiser sera le dernier, tu penses qu’il y en aura plein d’autres, tu crois que tu as la vie, mais c’est faux.
C’est la sonnerie du téléphone qui tirât Adriàn de son profond sommeil. Pendant un instant, encore dans le brouillard, il crût que son réveil se déclenchait, réalisant après un court laps de temps que ce n’était pas la même mélodie. Il jetât un œil rapide sur son réveil, pour constater qu’il était plus de trois heures du matin. Le numéro était inconnu, et il se replongeât en grognant dans ses oreillers. Quelques minutes s’écoulèrent puis la musique retentit de nouveau. « Allo ? » Sa voix était ensommeillée, et ses yeux se fermaient tout seul. « Monsieur X ? C’est Lyla… » La voix de son élève le fit sursauter, et sauter du lit aussi vite. « Lyla ? » Que lui voulait-elle à une heure aussi tardive ? « Je suis désolé de vous déranger, mais j’ai vraiment besoin de votre aide. » Le ton de sa voix était paniqué, et l’inquiétude le gagnât aussitôt. S’il était arrivé quoi que ce soit à la jeune femme, il se sentirait responsable. Oui il s’était trop attaché à elle, bien plus que dans le cadre élève professeur, mais c’était une lutte permanente entre la raison et la bienséance. « Qu’est ce qu’il s’est passé ? Où es tu ? » Sa voix trahissait son émotion. « Je suis au minigolf de Darmon Street. C’est très gênant mais je suis coincé, dans le château. » Avait elle bu ? Il lui semblait qu’elle tenait un discours complètement incohérent, et pourtant il n’hésitât pas une seconde avant de répondre. « J’arrive. » Il enfilât rapidement une chemise, un jean et sa veste, avant de conduire jusqu'à l’endroit indiqué par Lyla. En arrivant sur place, il se félicitât d’avoir pris une lampe torche. Le noir complet régnait sur les lieux, et l’entrée était bien évidemment bloquée. Il dut donc escalader un muret afin de pénétrer dans l’établissement. Ils avança a tâtons dans l’obscurité, répétant a plusieurs reprise le nom de son élève, afin de la trouver. Après ce qu’il lui semblât une éternité, il entendit enfin un « Ici » résonner non loin de lui. Il courut a grande foulée jusqu'à se trouver face a un château taille humaine. La belle semblait coincée dans l’une des douves. « Ne bouge pas, je vais te sortir de là. » Il plaçât ses mains le long de la taille de la belle, et la tirât sans trop de difficulté, jusqu'à lui. Ses yeux rencontrèrent ceux de la jeune femme tandis qu’elle arrivait à sa hauteur. Il retirât alors d’un geste rapide ses mains, comme si elle le brûlait. Elle était plus jolie encore qu’a son habitude. Sa longue chevelure brune tombait le long de ses épaules, parsemées de boucles. Elle portait une robe laissant deviner des courbes parfaites, sans rien en dévoiler. « Merci beaucoup, je ne savais pas si vous viendriez. » Il haussât les sourcils, comprenant qu’elle lui avait tendue un piège. Il est vrai qu’il l’avait retiré de là sans aucune difficulté. « Que … Comment tu as eu mon numéro ? » demandât-il déboussolé. « Je suis au conseil des élèves, et j’aide a l’administration. Ils ont un dossier avec le nom de tous les professeurs, adresses… Téléphone. » Terminât-elle, alors que ses joues se parsemait d’une teinte rouge. C’était la première fois qu’elle se montrait aussi timide et cela ne faisait que la rendre plus adorable encore. « Je vois… » Il avait adopté un ton sévère, mais il devait reconnaître au fond de lui-même, qu’il admirait la ténacité de la jeune femme. Et il ne regrettait certainement pas ce coup de fil. « Vous m’en voulez ? » Elle semblait complètement désespérée. Il savait que sa réponse aurait un impact sur elle. « Non. » Un sourire amusé se dessinât sur ses lèvres. « Mais j’aimerais vraiment savoir comment tu t’es retrouvé coincé ici ! » Coincé étant un bien grand mot, elle aurait pu se tirer de là sans l’aide de personne. « Bizutage de première année. » Bien sur, c’était la semaine des bizuts, comment avait t’il pu oublier ! Visiblement, c’était le sien aussi ce soir ! « On se tutoie maintenant ? » Le sourire au creux des lèvres de Lyla ne faisait qu’accentuer celui de son professeur. « Je ne suis pas sur que ce soit recommandé, mais bon. » La jeune femme haussât les épaules. « On est pas dans le cadre de l’école. » Il remarquât alors qu’elle tremblait. Pas étonnant, la température avait chuté d’un coup. Il se défit donc de son manteau, pour le passer autour de sa protégé, et lui frotter les bras, pour la réchauffer. « Tu fais ça pour toutes tes élèves, les secourir au beau milieu de la nuit ? » Le sarcasme était de mise, mais sans méchanceté. Elle semblait flattée et surprise de voir qu’il volait a sa rescousse. « Seulement quand j’ai la chance qu’elle soit aussi jolie que toi ce soir. » Il se surprenait lui-même à la complimenter avec autant de facilité. Il était d’un naturel timide et discret. Jamais il ne faisait le premier pas avec les filles. Mais il aimait la voir perdre cette arrogance qu’elle feintait. Il aimait la déstabiliser autant qu’elle pouvait le faire en un seul regard. « On s’assoit ? » Demandât-elle en désignant un banc quelques mètres plus loin. Sans attendre la réponse, elle s’y dirigeât et il lui emboîtât le pas. « Tu veux peut être récupérer ta veste ? » Il secoua la tête de dénégation. « Tu peux la garder. » Il mourait de froid, mais en gentleman, il la faisait passer avant lui. Elle se rapprochât alors de lui, jusqu'à, ce qu’il puisse sentir le contact de sa jambe contre la sienne. Elle ouvrit un peu la veste, et la déposa contre son bras nu. Il sentait toute sa peau se réchauffer au contact de la sienne. Pourtant il se reculât nerveusement. « Je ne crois pas que ce soit une bonne idée. » La jeune femme ne put masquer sa déception. « Pourquoi ? » On aurait dit une enfant a qui l’on retire son jouer sans explications. Il passât une main sur sa joue, mais réalisant ce qu’il était en train de faire il la retirât immédiatement. « Ce n’est pas raisonnable. Et tu le sais aussi bien que moi. » Ses yeux ne quittait plus les siens. L'ambiguïté de la situation le tenaillait. Il se noyait dans les prunelles chocolat de la belle, ne souhaitant qu’une chose, ne pas la quitter de la nuit. Elle murmurât alors doucement. « Mais le fait que tu sois là dit tout le contraire. » Il était dans son tord d’être là. Elle était dans le sien de l’avoir appelé. Ses muscles se paralysaient tandis que le visage de la brunette se rapprochait dangereusement du sien. Il lui était impossible de dire si c’était le froid ou l’adrénaline qui prenait possession de son corps mais il n’était pas en mesure de la repousser. Il sentit petit à petit son souffle se mêler au sien. Agréablement. Trop. Il était à deux doigts d’apposer ses lèvres contre les siennes, il ne raisonnait plus, et c’est a présent la seule chose qu’il voulait, mais un bruit au loin stoppât net les deux tourtereaux. « Lyla ? » Une voix de fille résonnât au lointain tandis que la concernée pestât. « Et merde ! » Un écho suivit provenant d’une autre personne. Elles devaient être plusieurs a la recherche de la jeune fille. C’était surement les chargées du bizutage, venant s’assurer qu'elle avait tenue bon. « Je dois y’aller ! » Dit-elle précipitamment en lui rendant sa veste. Ils ne devaient pas prendre le risque d’être vu ensemble, et pourtant il ne pouvait s’empêcher de regretter que ce moment est était interrompu. « On se voit en classe. » Lançât-elle comme si de rien n’était. Il la regardât alors courir dans le sens opposé, pour rejoindre ses amies. Il était incapable de dire si c’était une sorte de jeu pour elle. Il s’accrochait a elle, plus qu’il n’aurait du, plus qu’il ne le fallait. Il regagnât sa voiture, s’assurant de ne pas croiser les demoiselles. Mais la nuit ne lui portât pas conseil, le laissant aussi dérouté que la veille…
Dernière édition par Lyla-Erin Garreth le Dim 4 Mai - 11:29, édité 1 fois |
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✽ Messages : 385 ✽ Date d'inscription : 11/01/2014 If you feel like falling down, I'll carry you home.Eléonore-Joey Wellighton | Sujet: Re: (M) I feel the love and I feel it burn. Ven 2 Mai - 21:02 | |
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If you feel like falling down, I'll carry you home.Invité | Sujet: Re: (M) I feel the love and I feel it burn. Dim 4 Mai - 13:12 | |
| Coucou, je voulais savoir si tu voulais bien de moi et si le pseudos te convenait |
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✽ Messages : 258 ✽ Date d'inscription : 11/01/2014 If you feel like falling down, I'll carry you home.Luna | Sujet: Re: (M) I feel the love and I feel it burn. Dim 4 Mai - 15:47 | |
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Invité
If you feel like falling down, I'll carry you home.Invité | Sujet: Re: (M) I feel the love and I feel it burn. Dim 4 Mai - 16:55 | |
| Entre les deux c'est celui que je préfère. Alors pour écrire, j'écris pas souvent à la première personne, sauf quand je joue des petits de moins de 15 ans et encore.. Et la deuxième personne, j'aime pas ça, ça me bloque Donc je suis pour la troisième personne En ce qui concerne ton niveau de RP, j'ai peur de ne pas arriver à faire une page Word, car je n'écris pas beaucoup Alors je comprendrais que ça te gêne et que tu veux que je change de perso, pour laisser le petit Léo à une personne qui écrira un peu plus... Puis moi aussi j'aime les smiley |
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✽ Messages : 258 ✽ Date d'inscription : 11/01/2014 If you feel like falling down, I'll carry you home.Luna | Sujet: Re: (M) I feel the love and I feel it burn. Dim 4 Mai - 18:22 | |
| Les smileys c'est la vie Ça m'embête un peu mais le soucis c'est que j'ai peur de bloquer pour te répondre, j'ai du mal a répondre aux "petits" rps :/ Alors déjà que je suis un peu longue de base Là j'ai peu de vite arriver a court |
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Invité
If you feel like falling down, I'll carry you home.Invité | Sujet: Re: (M) I feel the love and I feel it burn. Dim 4 Mai - 18:46 | |
| Ha, du coup, bah je vais le laisser, si tu n'as pas envie |
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