Chapitre 1 × Abracadavre Mon histoire n'est pas ce genre d'histoire qui commence par il était une fois et pourtant elle commençait plutôt bien. Je suis née de l'alliance de mon père et ma mère,
drôle de coïncidence n'est-ce pas ? Mon père, Niklas le grand patron d'une entreprise de télécommunication et ma mère, Ashlynn, fille d'une famille aisée et ayant rencontré mon père à l’université après sept ans de vie commune je suis arrivée dans leur famille, dans notre famille. Je n'ai jamais manqué de rien, gâtée pourrie, aimée et fille unique, mes parents faisaient tout pour que je puisse être heureuse et c’était le cas ! J’étais épanouie à la maison comme à l'école, je faisais de la musique ou plus précisément du piano deux fois par semaine. Ma vie était à l'époque parfaite, mes parents et moi partions souvent dans les montagnes durant les vacances d'Hiver, c'était mon moment préféré, j'ai toujours été fascinée par la neige et par ce monde sauvage que pouvait être les montagnes. Un endroit magique, oui cela l’était, avant l'accident …
«
Ma chérie ? Il est l'heure. » cet appel suffisait à me faire arrêter le livre que j’étais en train de lire pour aller enfiler mon manteau, mes chaussures et mes gants. Il ne faisait pas très beau aujourd'hui voir même pas du tout, la radio avait annoncé une tempête pour toute la soirée, mieux valait ne pas sortir, cependant la radio s'en faisait toujours un peu trop pour rien. Une fois prête je courrais jusqu'à l'entrée de notre chalet au sommet d'une colline enneigée, un petit endroit de paradis pour n'importe quel enfant ou parent. Ma mère avait un rire cristallin, voir presque mélodieux, et lorsqu'elle me voyait habillée à la va vite, elle ne pouvait s’empêcher de rire. «
Phœnix, regarde moi cet accoutrement, laisse moi faire. » Ses mains, si douces, se posaient alors sur mon visage avant de venir ajuster mon bonnet pour couvrir mes oreilles et mon front, fermant d'un coup la fermeture éclair de mon manteau pour éviter les coup de vents. «
Maman ! Maman c'est bien aujourd'hui que l'on va voir tante Christie ? » demandais-je alors d'une petite voix, celle d'une enfant de 8 ans. «
Oui, c'est bien aujourd'hui, on va tous les trois aller voir tatie. » Moi, maman et mon papa qui apparu derrière moi déjà prêt pour sortir lui aussi couvert de la tête aux pieds en lançant un : «
Tout le monde est prêt ? » Il n'obtient même pas de réponse que j’étais déjà dehors en train de courir vers la voiture. Mes pas formaient des traces derrière moi, je m'enfonçais légèrement dans le sol, les flocons de neiges se collaient dans mes cheveux avant même que je ne puisse atteindre la voiture. Peu de temps après nous étions en route, mon père au volant ma mère sur le siège passager, il ne faisait vraiment pas beau en ce début de soirée, la tempête était épaisse et il était impossible de voir plus loin que le capot de la voiture, cependant ce n'était pas ça qui aurait arrêté mon père. Moi à l’arrière j’étais rivée à la fenêtre, regardant en bas au niveau des roues pour apercevoir le fossé qui descendait bien trop loin, après tout nous étions à la montagne. La musique était forte, du moins c'est ce qui me semblait, du vieux country une radio locale sûrement. La voix de mon père résonna fort dans la voiture alors qu'il serra un peu trop sur la droite pour laisser passer une voiture qui montait.
Un tout petit trop.Pour ce qui est du reste, je ne m'en souviens plus ou alors je fais en sorte de ne plus m'en souvenir, les cris de paniquent, le crissement de pneus, la musique qui s'affole et par dessus tout, le dernier regard que me lance ma mère en tournant la tête, vérifiant si tout allait bien et si ma ceinture de sécurité était bien enclenchée. A vrai dire je ne sais même pas si c'était pour ça, mais j'aime me l'entendre dire. La chute me semble tellement longue, je vois la main de mon père s'accrocher à la main de ma mère, leurs doigts s'enlaçant pour une dernière fois.
Et puis le retour à la réalité, bien trop brutal, le choc me fait cogner contre le siège avant, j'ai mal à la tête, je crois que je saigne de la lèvre car un goût amer se repend dans ma gorge. Je regarde autour de moi, certaines vitres sont cassées et la voiture n'est plus très rectangle, enfoncée dans un arbre c'est ici que ce fini la course. Mon père se retourne passe une main contre ma joue et me sourit faiblement. «
Tout va bien ? » Je hoche la tête en signe de réponse, je le vois alors se tourner vers maman, son regard est éteint. Je sais que mon père n'a jamais voulu pleurer devant moi, il me l'apprendra plus tard, mais pour lui cela n'est qu'un signe de faiblesse et il ne veut pas que je sois à mon tour quelqu'un de faible. Il passa sa main sur la joue de ma mère, je ne la vois pas très bien, ses cheveux son immobiles penchés vers la vitre, elle ne bouge pas. Des gens arrivent d'un peu partout et bientôt je me fais extraire de la voiture par des gens inconnus qui ne semblent pas me vouloir du mal. «
Viens la petite » dit-on alors que je remue les bras pour sortir de leurs bras. «
Ma maman est restée dans la voiture, il faut la sortir elle aussi ! » protestais-je. Je croise le regard d'une dame qui me fait un sourire triste, puis on m’emmène dans un camion pour me mettre des pansements et soigner mes petites blessures, mon père me rejoint quelques minutes plus tard pour voir mon état et soigner ses blessures à lui aussi, il me prend dans ses bras du moins dans celui qui est encore valide, je sens ses larmes couler le long de ma nuque, mais je ne comprends pas.
Pourquoi tu pleures papa ? Aurais-je voulu dire, mais je n'ai pas osé. Ce que je ne savais pas encore, c'est que plus jamais je ne reverrais ma mère vivante.
Chapitre 2 × Love Again … Après une telle chose, on apprend à faire avec, vous savez on dit aux enfants que leur maman est partie pour quelques temps, mais quelle reviendra, qu'elle est dans un endroit bien ou il y a plein de gens pour veiller sur elle, etc … etc. Ce n'est que vers mes 12 ans que mon père acceptait de me dire la vérité sur cette nuit la, nuit que ma mémoire à presque totalement effacée, tout sauf le dernier regard tranchant de ma mère, comme si elle savait déjà ce qui allait lui arriver, comme ci elle ne craignait pas de mourir tant que moi j’étais saine et sauve. Après cette révélation, j'ai beaucoup pleuré, je me suis renfermée sur moi même avant de comprendre que ce n'est pas ce que je devais faire. Ma mère n'aurait pas voulu que je me comporte de la sorte, et c'est grâce à cette pensée que je me suis relevée. J'ai poursuivi mes études, réussi brillamment dans les domaines qui me plaisaient, et une fois mon diplôme de droit obtenue je me voyais comme accomplie de ma tache que je m’étais fixée...
«
Alors on va fêter ça ? » «
Fêter quoi ? » demandais-je d'une voix innocente. «
Bah l'obtention de notre diplôme ! C’est un truc qui ce fête ça, un peu comme à la télé avec les tonnes de mecs canons, l'alcool à volonté, tous les trucs de fous ! » «
C'est à la télé ça, et je t'assure que si tu arrêtais de stéréotyper tous les mecs que tu croisais tu finirais par en trouver un. » «
Commence pas ! Toi tu as juste à remuer du popotin pour que tous les mecs bavent devant toi. » «
C'est ridicule. » articulais-je en rigolant. Les études c’étaient terminées désormais, chose qui me plaisait bien, j'allais enfin pouvoir entrer dans la vie active. La remise des diplômes avait été un grand moment, les parents y étaient conviés comme chaque année, mon père était venu, décalant par ma faute un nombre monstre de rendez-vous, mais il savait que c’était important pour moi. Depuis la mort de maman, il a toujours tout fait pour que je garde mon sourire, ma joie de vivre, même si cela n'a pas toujours été facile. Je pense que c'est grâce à lui que j'ai eu le courage de continuer d'avancer de la sorte. Cependant le moment n’était pas de se lamenter sur les souvenirs passés. La fête se passait chez Jessica, une fille que je ne connaissais pas tellement et que je n'avais pas spécialement envie de connaître, comme prévue les boisson étaient au rendez-vous, les garçons aussi, bien que sûrement trop immatures pour m’intéresser du moins. La décoration était sobre, quelques guirlandes, des ballons, rien de très extravagant. Tout ce passait bien, il était encore assez tôt, quelques filles étaient malheureusement tombées dans la piscine avec les mecs, moi j’étais la sur le bord à les regarder se donner en spectacle, très peu pour moi. Adossée au bar, mon verre de bière à la main, verre que je n'avais presque pas entamé, deux garçons que j'avais déjà vu à l’université m’accostèrent, comme si j’étais leur meilleure amie depuis des années. «
Alors ma belle tu t'amuses bien ici ? » «
Faut croire. » «
Oh bah alors, tu aimes pas avoir de la compagnie, allez détends toi, on s'amuse c'est tout, faut pas se prendre la tête. » Je ne répondais pas, il n'existait pas sur terre plus lourde approche que celle-ci. Dès lors, je sentais une main se poser sur ma cuisse, portant une jupe avec un débardeur, la main de l'homme de droite touchait directement ma peau, d'un coup de main je lui retirais sa paume de ma cuisse. «
On joue la frigide ? » dit le second «
Me touche pas. » L'autre se mit à faire de même, agissant sous l'alcool ou non, je n'allais pas me laisser faire par ces deux gamins, me dégageant du bar, j’avançais vers l’intérieur de la maison, mais le plus jeune des deux m'attrapait le bras, mon gobelet vola à sa figure et il fut bientôt recouvert de bière, quelques invités se retournèrent en rigolant. «
J'ai dis … ne. … me … touche … pas. » dis-je en séparant chacun des mots. J'ajustais mon haut avant de prendre mon sac à bandoulière et prendre la sortie de la maison, l'amie qui m'avait fait venir, Alice, me rattrapait avant que je ne franchise la porte. «
Tu t'en vas déjà ? » «
Ouai je m'amuse pas ici et de toute façon j'ai oublié mes affaires au bureau, fait que j'y passe avant que l'immeuble ferme, tu sais ... » «
Ok comme tu voudras … Tu oublies pas de m'appeler, hein ? » «
Pas de problème. ».
C'est ainsi que cette petite soirée se finie pour ma part, ce soir n’était pas mon soir et je n'avais aucunement envie de m'amuser à esquiver des mecs toutes la soirée, pourquoi ne pas rester tout simplement avec mes amis ? Je ne sais pas, l'envie n’était pas la et puis je voulais vraiment passer au bureau, ce qui est traduisible par "
la société de mon père", mon excuse pour quitter la soirée n'en étais pas vraiment une en fin de compte. Mais lorsque je m’aperçus de l'heure il était bien trop tard pour espérer entrer dans l’immense battisse surveillée par un service de surveillance, je me retrouvais donc seule en bas de l'immeuble, à regarder de droite à gauche, ma soirée aurait pu simplement s’arrêter la, un autre taxi serait venu me chercher et m’aurait ramené chez moi, mais non. Désespéré par la situation, je pris la route du petit bar qui se trouvait en face. Étonnant ou non, j'aimais bien l'ambiance de l'endroit, ce n’était pas le genre de bar ou j'avais l'habitude de traîner, mais celui la était plutôt … cool. Je pris place au bar, commandant quelques mojitos, peut-être que cela me ferais oublier à quel point cette journée était une catastrophe.
Cependant, avant même que je n'atteigne mon stade d’ébriété totale, un homme s’approcha de moi en engageant la conversation. Je ne pris pas la peine de jeter un regard vers lui, les jambes croisées, je continuais ce pour quoi j’étais venue, boire. Son grain de voix était suave, un peu comme du miel qui coulerait d'une cuillère vous voyez ? Le genre de voix à faire fondre n'importe qui. Son approche n’était pas des meilleures, mais au moins il avait une certaine politesse dans ses propos, il ne semblait pas plus intéressé qu'un autre. Pourquoi lui ? Je ne sais pas, mais je me suis laissée avoir dans son petit jeu ou plutôt le notre, cet homme bien qu'il ne soit pas le premier, ne me laisse pas ou presque pas de marbre. Une nuit, rien qu'une, si seulement nos regard ne c'était pas croisés à nouveaux. Un regard, un sourire, il était un charmeur né, un charmeur à la carrure d'un dieu grec. Après toutes mes aventures je m’étais pourtant interdit de ne pas m'attacher à ce genre d'homme, celui qui sait ce qu'il veut et qui sait comment l'obtenir, un homme sur de lui et puissant, mais il était ce contraste que je n'avais jamais eu, avec lui, je me sentais bien.
Chapitre 3 × A promising future Je n'ai jamais cru en l'amour éternel, ni même à ce genre d'histoire féerique que l'on raconte aux enfants, l'amour peut venir, mais aussitôt repartir, on ne peut être sur de rien. Alors annoncer à mon père et à mes amis que j'allais me fiancer ne fut pas simple pour moi comme pour eux. Martin travaille à l'entreprise de mon père et commence à se faire un nom, de plus que nos repas en famille favorise sa montée dans l'entreprise, je n'en doute pas, ce n'est pas ce qui m’intéresse de toute manière. Depuis peu je travaille dans un cabinet d'avocat assez réputé dans la ville, je me fais mon propre nom de mon coté.
«
Maître Monroe, je viens vous voir pour savoir si vous préférez un café plutôt qu'un thé ... » «
Arrête Stefan, c'est vraiment pas drôle. » dit-je en frappant mon ami d'un coup de dossier sur le crâne. Le cabinet était confortable, très luxueux, la plupart des bureaux était fermés de vitre en verre, la déco était simple, mais le prix y était, les bureaux en bois de cerisier, un accueil agréable. L'endroit respirait le beau et le riche, un cabinet d'avocat comme beaucoup dans le coin. «
Cet ensemble te vas … à ravir. » dit-il en sifflotant entre ces dents, ce qui me fit rire de nouveau. Stefan était un ami de lycée avec qui javais gardé contact quelques années avant de finalement le revoir travaillant au bureau en tant que technicien de maintenance, il n'avait pas changé d'un poil, ses cheveux blonds toujours en bataille, son air inconscient et une carrure d'homme se rendant tous les week-end en salle de sport, il était mignon il faut l'avouer. «
Je suis fiancée, oublie pas. » dis-je d'un air narquois en me servant un café entre deux rendez-vous. «
Toi tu ne l'oublieras pas, moi par contre.... » «
Idiot » lançais-je. Cela faisait trois mois que j’étais embauchée dans l'entreprise, mon CV ainsi que mon parcours avait suffit à me faire embaucher, j’eus droit à une petite semaine de stage si l'on puis dire, que je me fasse au métier, avant de pouvoir moi-même m'occuper de cas, et ce n’était pas ce qui manquait. Des cas les plus déjantés les uns que les autres, c'était assez drôle d'en discuter avec Martin le soir en rentrant, une dame qui voulais faire un procès à son voisin depuis que l'un de ses chiens est mort dans sa tondeuse, un homme voulant faire un procès à une grande enseigne de fast-food pour des frites pas assez cuites et des tonnes et des tonnes de divorces pour X ou Y raisons. Ma connaissance des lois n'est pas parfaite, mais j'arrive à gérer les choses, j'ai déjà assisté à plusieurs affaires et je me sens bien dans se domaine, incarner la justice cela me plaît.
Alors que le beau Stefan était en train de débattre seul sur le bon du mauvais de ce lier si jeune mon portable, rangé jusqu'alors dans ma poche se mit à vibrer, une puis deux fois, je levais le doigt pour intimer à mon ami de ce taire avant de répondre. Je n'avais même pas eu besoin de lire le nom indiqué sur l'écran, sa voix emplissait déjà tout mon être, je l'imaginais comme chaque matin me susurrer des mots doux à l'oreille, rien que de l'imaginer des frissons parcoururent mon corps. «
Bonjour monsieur Harvey, que puis-je pour vous aujourd'hui ? Encore votre femme qui vous harcèle pour payer la pension alimentaire ? Ne vous en faites pas je suis la pour vous. » Dis-je en gardant un certain sérieux, Stefan pouffa avant de se mettre à réparer la machine a café, ce pour quoi il était venu. «
Ce soir ? » continuais-je un peu étonnée par ce que venais de me dire Martin «
Oui, oui je serais prête, je peut finir dans 1 heure, puis je suis à toi ça te vas ? ». Sa réponse m'empourprent les joues, garde ton sang froid ma belle, ne montre pas que tu es déstabilisée ! «
Alors à ce soir monsieur Harvey. » dis-je avant de terminer par un discret et mince «
Je t'aime. ». Ce soir, ce n'était pas simplement à la maison que nous irions manger, mais dans un grand restaurant réservé par monsieur pour faire plaisir à madame. Nous sommes un mardi, je ne pense pas que j'irais dormir de bonne heure ce soir ...
«
Je m’appelle Phœnix Kathleen Monroe. Mon père est riche, ma mère et morte, je suis fille unique, je n'ai pas d'animaux bien que je rêverais d'avoir un chien, je n'ai jamais voulu avoir un frère ou une sœur, je veux devenir avocate, ma couleur préféré et le turquoise et j'aime bien plus le rock que mon style laisserait paraître. J'aime me faire remarquer et utiliser de mes atouts, je n'ai pas ma langue dans ma poche, quand j'ai quelque chose à dire je le dis. Je n'ai pas la prétention d’être parfaite, je suis juste ce que je suis, je vis au jour le jour en espérant ne pas croiser trop d’embûches, bien que la routine m'ennuie. Tout ceci est mon histoire, une histoire qui s’écrit au passé, au présent et au futur, rien n'est écrit à l'avance, nous choisissons notre propre destinée, nos choix forment ce que nous sommes vraiment. Et pour le moment, je ne m'en sors pas si mal. »
Extrait d'un travail rendu en dernière année de mademoiselle Phœnix Monroe. .
❝TRUTH OR DARE ? : BE HONEST OR BRAVE❞
Ce matin vous vous êtes réveillé avec une drôle de sensation, en vous regardant dans le miroir vous remarquez que votre corps a un peu changé et en faisant un geste hasardeux vous réalisé qu'il n'y a pas que ça qui a changé. Ça y est vous êtes un super héros ! Quel est votre pouvoir et quelle est la première chose que vous faites ? :
Je peux peut contrôler le feu, je trouve que cela colle bien avec mon nom pas vous ? Je peux créer rien qu'en imaginant des flammes du bout de mes doigts et même enflammé tout mon corps. La première chose que je fais ? Bruler l’appartement ma voisine, vous feriez de même si vous vous faisiez réveiller tous les jours à 5h du matin par des milliers de miaulements. Après j'irais me venger sur deux ou trois autres personnes qui ont pu me mener la vie dure durant mes études, ensuite je finirais sur une table d'opération entre trois médecins se battant pour qui ira voir dans mon cerveau comment est apparue cette fichue mutation ! Lors d'une soirée entre amis, on vous met devant le fait accompli avec un jeu que beaucoup connaissent : action ou vérité. Évidemment pour préserver votre jardin secret et parce que ce soir vous vous sentez courageux, vous choisissez "Action". Problème, on vous met face à votre plus grande peur, comment allez vous gérez ça ? :
Une soirée ? Je ne tiens jamais bien longtemps debout dans ce genre de soirée. Sinon plus sérieusement, que je sois face à ma plus grande peur, je le ferais, je ne veux pas que mes amis pensent que je suis faible. Ils m'ont toujours connu comme Phoenix la fille au tempérament de feux, alors je ne vois pas comment cela pourrait être autrement. Bien sur, je suis assez réaliste pour éviter tout suicide ou autre truc débile, il n'y a rien a gérer dans des cas comme cela, je le ferais, point, je m'en mordrais peut-être les doigts après ou me maudirais moi-même, mais jamais je ne renoncerais. Lequel des sept péchés capitaux vous représente le mieux ? Pourquoi ? :
Ce qui me représente le mieux ? Je serais tentée de répondre aucun des sept, cependant j'avouerais que la Luxure me tente. Pourquoi ? J'ai besoin de vous faire un dessin ? Je ne pense pas qu'il existe meilleur plaisir que celui ci, si vous voyez ce que je veux dire ... Nous avons chacun des défauts plus ou moins importants, je ne pense pas que cela en soit un pour moi, mais on fait tous avec dans le meilleur des mondes.