✽ Messages : 731 ✽ Date d'inscription : 10/01/2014 If you feel like falling down, I'll carry you home.Ariel-Cece Jones | Sujet: (M) I can't get you out of my mind Ven 2 Mai - 20:58 | |
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Roman prenom² Hadley You think ‘Okay, I get it, I’m prepared for the worst’, but you hold out that small hope, see, and that’s what fucks you up. That’s what kills you.
@loshermanosgecko/tumblrCARACTÈRE/MANIES : Il est particulièrement solitaire, assez posé et il envisage l'avenir avec beaucoup de réalisme. Il est discret, tendre mais impose le respect sans faire beaucoup d'effort. Il est taquin et charmeur mais sans jouer avec les femmes au point de leur faire du mal. Il tient à la fidélité et à la stabilité et déteste la vantardise. Il est un brin maniaque et un peu jaloux aussi. Il n'aime pas les ragots et juge parfois trop rapidement les gens. Il est protecteur et déteste qu'on lui mente, il peut s'énerver et être violent mais fait beaucoup de sport pour se défouler. |
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❝YOU ARE NEVER ALONE WHATEVER YOU'RE GOING THROUGH❞
there is no such thing as fate La tête dans son casier, elle cherchait les livres dont elle allait avoir besoin dans l’après midi, les remplaçants par ceux qu’elle avait porté toute la matinée. Lorsqu’elle eut fini cette transaction, elle referma le casier et se retourna sans prévenir. L’impact la laissa un peu sur le côté, les livres s’étaient enfuis de ses bras pour s’étaler autour d’elle qui avait les fesses posées au sol. Il lui fallut quelques secondes avant d’atterrir de nouveau dans ce monde. « Non mais ça va pas bien ? » « Excuse moi, je regardais ailleurs je suis un peu perdu par ici. » Elle leva les yeux vers celui qui lui tendait à présent la main et l’aida à se relever lorsqu’elle s’en saisi. « Nouveau ? » « Ouai, Roman, c’est mon premier jour, je participe à un système d’échange, je ne vais pas rester bien longtemps. » Elle s’avança dans l’immense hall du lycée et au bout de trois pas, se rendit compte qu’il ne l’avait pas suivi. Elle s’arrêta donc et se retourna vers lui. « T’attends quoi au juste ? En plus t’as mes livres, grouille ! » lança-t-elle à l’inconnu qui n’en resta pas un bien longtemps. Ce n’était pas son genre mais elle décida qu’il méritait une petite visite des lieux alors elle ne manqua aucun recoin de l’établissement et à chaque pièce qu’elle lui faisait découvrir, elle lui posait une nouvelle question sur lui. C’était étrange parce qu'Ariel n’était pas la personne la plus appréciée dans le coin et pourtant il attirait désormais encore plus l’attention, tandis qu’une heure auparavant personne n’avait remarqué sa présence. A l’heure du déjeuner, elle lui expliqua qui était qui, quelles personnes étaient à éviter et lesquelles pouvaient lui être profitables. A la fin de la journée il connaissait absolument tout de cet endroit mais pas grand-chose d’elle. Il profita donc du café qu’elle lui offrit, à la fin des cours, pour cette fois prendre les rênes de la conversation. « Tu ne m’as présenté à personne en particulier, dois-je en conclure que tu es l’associable du coin ? Pas une psychopathe j’espère ? » dit-il en plaisantant. Mais Ariel n’appréciait pas forcément ce genre d’insinuations parce qu’elle avait pour habitude de se les manger à la sauce d’insultes en tout genre. « Tous les new yorkais sont aussi cons ? » Il se mit alors à rire, comprenant qu’il l’avait un peu vexé et ce n’était pas le but mais il avait certainement soulevé une part de vrai. « Non c’est juste moi. Aller, je t’offre un muffin. » Elle avait baissé sa garde trois jours plus tard. Ils passaient beaucoup de temps ensemble mais ça ne ressembler à rien de bien défini, de toute façon Ariel n’avait pas les mêmes réactions que les autres adolescents et elle lui faisait découvrir la ville sous son meilleur aspect. La famille qui était responsable de lui ne voyait pas cette relation d’un très bon œil parce que Ariel était la troisième fille d’une famille que tout le monde jugeait étrange, leurs enfants avaient tous été adoptés et dans des circonstances appariement peu légal. Mais lui s’en fichait pas mal. Ils passèrent neuf mois ensemble, enfin amicalement ensemble. Pour Ariel c’était une amitié exclusive mais elle ne l’empêchait pas d’aller vers les autres, au contraire. Il appréciait absolument tout chez elle et la voyait déjà devenir son premier amour parce qu’il avait un énorme coup de cœur. Mais il n’eut pas le temps de briser la glace avant son départ. Elle l’accompagna à l’aéroport et attendit avec lui jusqu’à la dernière minute. Au moment de se dire au revoir elle fit honneur à ce qu’il aimait chez elle. « Bon on va pas chialer hein ? Je suis sûre que dans peu de temps tu m’auras oublié et probablement que moi aussi. » il s’était mit à rire nerveusement, « Je ne crois pas non. Et je te pari même que dans dix ans, on se recroisera et cette fois je te lâcherai pas. » il avait réussit à lui clouer le bec et pourtant ce n’était pas une mince affaire. Il attrapa son visage entre ses mains et déposa un baiser sur son front avant de lui glisser, « prends soin de toi d’ici là. » et il s’en alla franchir la porte d’embarquement.
8 ans plus tard, elle était à la fac te poursuivait des études en criminologie. Elle n’avait pas bouger d’un pouce mais elle était devenue une vraie jeune femme et s’était même laissée aller aux histoires d’amour. Elle se baladait d’ailleurs au bras du jeune homme le plus envié du coin, il était toujours dans la démonstration et l’extravagance, d’ailleurs il voulait faire carrière dans l’événementiel et elle le taquinait régulièrement là-dessus. Elle avait été un challenge pour lui, enfin ça dans un premier temps et puis il avait fini par vraiment craqué pour elle. Malheureusement tout le monde le connaissait pour son caractère infidèle et il avait beau lui assuré qu’il n’avait d’yeux que pour elle, elle n’était pas dupe. Mais parce qu’il avait su comblé un vide dans sa vie, elle décidait de l’accepter avec ses défauts. Quand ils étaient tous les deux, elle avait le droit à ce qu’elle aimait le plus chez lui, sa tendresse, son humour et finalement il avait prit le contrôle de sa vie. A la fin de son premier semestre, il l’a demanda en fiançailles, pour lui c’était une démarche logique dans l’évolution de leur relation mais elle ne le voyait pas comme ça. Espérant que cet engagement l’oblige à ne voir qu’elle, elle accepta et quitta même sa ville natale pour rejoindre New York où elle termina son année tranquillement. Avec lui, rien n’avait changé, cette bague qu’il avait glissé à son doigt n’avait aucune valeur si ce n’est qu’elle avait droit à un « Je t’aime » plus régulièrement. Il savait qu’elle ne pourrait pas le quitter et en profitait. Et puis un jour, alors qu’elle se baladait dans cet immense supermarché qu’elle détestait, son caddie heurta celui d’un homme qu’elle aurait reconnu entre un million d’autre. « Wouoh ! » s’était-elle exclamée avant de réaliser que c’était Roman. « Décidément je crois qu’on est fait pour se rentrer dedans. » dit-elle avant de rire à cette double signification. Lui était resté planté là, surprit et charmé parce qu’elle était toujours aussi belle. « Sauf que cette fois c’est de ta faute. » Il lâcha son caddie pour aller la serrer dans ses bras. « Comment vas-tu ? » « Très bien. Ca te dirais d’abandonner nos courses pour un bon café ? Je te laisse payer les muffins ! » et avant qu’il n’est le temps de répondre elle l’avait entrainé dehors. Il lui raconta un peu comment il avait évolué depuis son départ quatre ans plus tôt, il était toujours aussi enthousiaste et déterminé. Il sortait désormais avec une jeune femme plutôt enviable et Ariel semblait heureuse pour lui. Évidemment il avait remarqué son alliance et la taquina à ce sujet parce qu’il était persuadé qu’elle n’était pas ce genre de femme, même après tout ce temps. Cette rencontre fut pour Ariel un vraie soulagement, elle n’arrivait pas forcément à se faire à cette grande ville mais elle faisait un effort pour son fiancé, parce qu’elle était prête à faire n’importe quoi pour lui. Roman avait d’ailleurs été très surpris par ce nouvel aspect de sa personnalité d’autant plus que les fois où ils se virent après ça il notait comme sa relation était triste. Il avait essayé de la raisonner mais ça n’était plus aussi simple, même s’ils agissaient comme s’ils ne s’étaient jamais quittés. Et puis, il dut repartir pour quelques temps, une mission au travail qui l’éloignait de New York et de ses surprises. Ariel était persuadée de le revoir très vite, néanmoins quand elle l’accompagna à l’hôpital cette fois, elle précisa, « t’avais promis de ne pas me lâcher cette fois ! » « Ca ne faisait pas tout à fait dix ans. » Elle sourit et déposa un baiser sur sa joue, « Rendez-vous dans un an ? » « J’espère trois mois seulement. » Et elle s’en alla le laissant cette fois attendre son avion seul.
Ariel avait certainement vu l’avenir. Sa relation se dégrada, Martin n’en faisait qu’à sa tête et elle s’accrochait à lui parce qu’elle ne voulait pas avoir tort face à tous ceux qui la suppliait de le quitter. Fatiguée et humiliée par son attitude, elle avait cessé de l’aimer mais ne le haïssait pas pour autant. Finalement il avait comprit qu’il lui faisait trop de mal et qu’elle n’aurait pas la force de le laisser partir malgré qu’elle prononçait les mots « Je te quitte. » au moins trois fois par jour. Il avait donc prit ses valises et tout ce qui lui appartenait et était parti sans lui dire. Il ne lui restait donc que ses souvenirs et un mot qu’il avait laissé en partant, même sa bague avait disparu. Cette rupture fut brutale mais plus facile à surmonter que si elle avait prit les devants. Finalement elle n’avait plus rien à faire à New York et décida de rentrer chez elle, parce que c’était le seul endroit où elle reprendrait le pouvoir sur sa vie. Elle monta dans l’avion avec une petite angoisse, ce genre de trajet la rendait nerveuse, mais elle était pressée de rentrer. Elle prit alors place au siège F145 qui lui avait été attribué, et se mit aussi à l’aise que possible. Au bout de quelques minutes quelqu’un vint occupé la place vacante à sa droite. « Cette fois, aucun blessé. On progresse. » Il s’était assit et lui avait offert son plus beau sourire, décidément il était toujours là quand il le fallait. « Je vais finir par croire que tu me suis. » « Non c’est promis, j’avais juste besoin de vacances et je voulais rendre une petite visite à la famille chez qui j’ai squatté pendant des mois. » Elle se mit à rire, ça lui était venu d’un coup sans raisons, en faite elle pensait en temps qu’elle avait sans doute perdu loin de chez elle. « Au fait, bon anniversaire ! » elle le regarda en grimaçant, « Quoi ? Tu sais bien que c’est pas mon anniversaire. » « Ca fait dix ans aujourd’hui. » ils échangèrent un long moment de silence dans lequel il attrapa sa main et au touché, il remarqua l’absence de son alliance. « Bon anniversaire. » dit-elle simplement avant que l’avion ne décolle. Elle fini par trouver le calme en s’endormant sur son épaule et survit ainsi au voyage et à l’absence de celui qu’elle pensait indispensable.
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✽ Messages : 731 ✽ Date d'inscription : 10/01/2014 If you feel like falling down, I'll carry you home.Ariel-Cece Jones | Sujet: Re: (M) I can't get you out of my mind Ven 2 Mai - 21:08 | |
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Invité
If you feel like falling down, I'll carry you home.Invité | Sujet: Re: (M) I can't get you out of my mind Mar 27 Mai - 19:28 | |
| Si tu veux de moi, je suis là ma belle J'espère que le pseudo est à ton goût, j'avoue que je ne suis pas fan de Roman alors |
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✽ Messages : 731 ✽ Date d'inscription : 10/01/2014 If you feel like falling down, I'll carry you home.Ariel-Cece Jones | Sujet: Re: (M) I can't get you out of my mind Mar 27 Mai - 19:30 | |
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Invité
If you feel like falling down, I'll carry you home.Invité | Sujet: Re: (M) I can't get you out of my mind Mar 27 Mai - 19:38 | |
| J'avoue que je ne suis pas du tout pour la compétition, alors je laisse ma place... De plus, l'autre personne à déjà bien bosser sur sa fiche de présentation. Je vais me faire un personnage, mais il va nous falloir un super lien ! |
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✽ Messages : 731 ✽ Date d'inscription : 10/01/2014 If you feel like falling down, I'll carry you home.Ariel-Cece Jones | Sujet: Re: (M) I can't get you out of my mind Mar 27 Mai - 19:50 | |
| Pas de problème, je comprends hâte de découvrir ton personnage et évidemment pour le lien |
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✽ Messages : 1 ✽ Date d'inscription : 10/06/2014 If you feel like falling down, I'll carry you home.Roman Hadley | Sujet: Re: (M) I can't get you out of my mind Mar 10 Juin - 14:37 | |
| Hey La place serait-elle libre ? |
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✽ Messages : 731 ✽ Date d'inscription : 10/01/2014 If you feel like falling down, I'll carry you home.Ariel-Cece Jones | Sujet: Re: (M) I can't get you out of my mind Jeu 12 Juin - 15:05 | |
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If you feel like falling down, I'll carry you home.Contenu sponsorisé | Sujet: Re: (M) I can't get you out of my mind | |
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