✽ Messages : 20 ✽ Date d'inscription : 31/05/2014 If you feel like falling down, I'll carry you home.Wyatt S. Hartfield | Sujet: WYATT + I never told you Sam 31 Mai - 22:39 | |
|
Wyatt Soren Hartfield You think ‘Okay, I get it, I’m prepared for the worst’, but you hold out that small hope, see, and that’s what fucks you up. That’s what kills you.
@chounette/cmh CARACTÈRE/MANIES : Protecteur + Impulsif + Têtu + Fidèle + Loyal + Attachant + Charismatique + Rancunier + Sportif + Energique + Bordélique + Ne croit pas au coup de foudre + Ne croit en aucune religion + Se détend en courant dans le parc la musique sur les oreilles + A tendance à beaucoup s'exprimer en râlant du fait de son perfectionnisme + Est capable d'interrompre une conversation importante pour recadrer un cadre mal mis + A peur de la solitude et est claustrophobe + Ne se rend jamais à la station service, il demande soit à un ami, soit il commande à domicile + Devenu égérie d'une marque de sous-vêtement et de parfum + Cache un révolver dans un de ses tiroirs pour se défendre + Vit dans un immense appartement qui lui semble beaucoup trop grand pour lui seul + Est un couche tard + Fait souvent des crises d'angoisses nocturne + Se définit comme Saint Thomas : Ne croit que ce qu'il voit + A déjà subit un choc électrique externe lors d'un match pour rendre son rythme cardiaque sinusal, depuis il garde une brulure sur le torse. | Nom : Mon vrai nom de famille ? Hartfield. Un prénom que je tiens de ma mère, mère célibataire, qui se trouvait au mauvais moment au mauvais endroit dans une station service en cours de braquage. Une balle en pleine tête. Morte sur le coup. J'avais trois ans. Mon nom d'adopté. Je m'en fous. Je n'ai qu'un nom, celui de ma mère. Je ne porterai jamais aucun autre. Prénom(s) : Wyatt en premier prénom, Soren en second prénom. Seksey nan ?Âge et Date de naissance : 26 Octobre 1988. Inutile de préciser pour les nuls en maths ou ceux qui ont impérativement besoin d'une calculatrice que ça me fait donc 25 balais actifs Statut civique : Officiellement monogame et célibataire, officieusement très amoureux d'une demoiselle rencontrée à mes 4 ans Nationalité : Franco-Américain, sexy comme mélange non ? Statut Social : Après m'être battu pendant des années, je peux dire avec un plaisir démesuré que je me suis bien démerdé. Une bonne université et un solide bagage derrière moi, on peut dire que je suis aisé. Métier/Etude : Rugbyman professionnel avec quelques côtes froisées et avec une impulsivité qui me permet de gagner pas mal de match malgré les coups. Groupe : Diabolo Célébrité : Beau Mirchoff |
❝PEOPLE HAVE DRAWERS FULL OF MEMORIES ❞ + Qui aurait cru qu’une jeune étudiante en cinquième année de médecine, éperdue d’un jeune chirurgien à peine diplômé – grand, beau, bronzé et à l’accent britannique terriblement attirant - pour lequel elle travaillait en guise d’instrumentiste aurait pu tout abandonner du jour au lendemain ? C’était pourtant ce que la jeune Allison avait fait. Elle avait commencé son internat dans cet hôpital, aux cotés de ce jeune homme à peine plus vieux qu’elle et qui ne parvenait même pas à la tutoyer. Charmeur à souhait, il était considéré comme le meilleur chirurgien cardiaque de la ville et ne s’empêchait pas de mettre ses atouts en valeurs, en particuliers ce petit accent purement British qui avait séduit Allison, comme beaucoup d’autres à l’époque. Acharné de boulot, Allison le suivait partout où il allait, anticipant le moindre de ses mouvements afin d’être parfaitement coordonnée. A eux deux, ils excellaient dans la rapidité et l’efficacité de chacune de leurs opérations si bien qu’ils ne se séparaient plus, ni la nuit. Plongée dans les bras d’un homme qu’elle aimait profondément, Allison risquait sa bourse et ses études en se laissant aller à une idylle passionnée avec cet homme, mais elle n’en avait pas peur, au contraire. L’interdit l’excitait encore plus. Le jour de la proclamation des résultats de sa cinquième année, la jeune femme apprit deux nouvelles, deux plus belles nouvelles de sa vie : Sa réussite et sa grossesse. Présent pour applaudir son étudiante « préférée » le jeune chirurgien pris plutôt mal la seconde nouvelle et pour cause. Une année durant il était parvenu à cacher un mariage avec une reporter en mission en Afghanistan qui devait justement rentrer dans les mois à venir. Devenir père ? Jamais. Mettant fin à sa relation avec la jeune femme, il refusa par la même occasion de reconnaitre son bébé, qui plus tard devenait son fils. Abandonnant ses études pour élever son fils, Allison s’était promis de faire un pied de nez à ce goujat en alliant maternité et travail à la perfection, mais sa grossesse s’était avérée plus compliquée qu’elle ne le croyait. Alitée jusque la fin de sa grossesse pour d’horribles contractions et une fissure de sa poche, la jeune femme mis finalement au monde le petit Wyatt- dont une mèche de cheveux brune rebelle trônait déjà fièrement sur le front à la naissance – avec eux mois d’avance et un mois et demi de couveuse. Malgré sa prématurité, Wyatt s’était toujours montré très énergique et bourré de charme. Seule pour l’élever, de part la mort de ses parents, Allison s’était trouvée un petit boulot de serveuse couplée à quelques boulots de repassages et de ménage à domicile. Assez pour faire vivre deux bouches et payer un loyer, malgré la fatigue accumulée. Reprendre ses études à ce stade ? Hors de question. Elle en était bien incapable au vu du temps qu’elle passait à travailler sans son fils, gardé par l’adorable concierge de son immeuble. Elle s’était cependant promis de les reprendre dès que le petit garçon serait assez grand pour le comprendre, mais le sort de la vie en avait décidé autrement, ôtant la vie de la jeune femme alors qu’elle s’était stationnée dans une station-service pour faire un plein, la main de l’enfant dans la sienne. Du haut de ses quatre ans, Wyatt s’était souvenu de trois choses : Le visage et les dernières paroles de sa mère Allez mon ange, tu as été sage, tu as droit à choisir un paquet de bonbon. Le sang sur les fenêtres et les étalages à l’intérieur de la supérette de la station et le noir du placard dans lequel il avait eu l’instinct et la bonne idée de se réfugier, passant trois jours entiers enfermés, jusqu’à ce qu’un policier ne l’en sorte, affamé, frigorifié et par-dessus tout tétanisé. Du haut de ses quatre ans, le petit Wyatt arrivait dans un monde inconnu après plusieurs semaines de préparations psychologique dans une unité de pédiatrie où il était soigné pour ses crises. Il ne s’en sortait pas psychologiquement stable, mais il évoluait relativement bien selon les médecins.Transféré à l’orphelinat, dans les bras de son infirmière préférée, un peu le substitut de sa mère, Wyatt montra quelques difficultés à laisser la jeune femme partir. A vrai dire, elle avait été son seul pilier, la seule personne qu’il acceptait de voir et à qui il acceptait de parler. Les autres n’étaient que des ombres autour de lui. Agressif, il restait à l’égard des autres enfants durant de longs mois avant de découvrir un ballon ovale avec lequel l’éducateur jouait quelques fois dans le jardin, avec les autres garçons. Un ballon de rugby qu’il ne lâcha plus et lui permis de s’ouvrir enfin au monde et de se faire quelques amis, et aussi quelques ennemis… Alors qu’il venait de fêter ses cinq ans autour d’un délicieux gâteau au chocolat préparé par son infirmière préférée qui ne l’avait jamais oublié, une nouvelle venue fit son arrivée dans l’orphelinat. Mais cette fille, elle était différente. Beaucoup plus petite que les enfants habituellement emmenés ici, il la remarqua rapidement de part ses cris stridents à toute heures de la journée. Maudissant cette boule de nerfs au sourire angélique, il ne l’approchait que par obligation pour lui dire bonjour le matin et ce des mois durant. Il rechignait à lui prêter ses jouets, rechignait à participer à son bain ou à toute autre activité à ses côtés jusqu’à ses 11 mois. Pas de papa ni de maman, le tout premier mot de la petite fille fut un franc « YATT » accompagné d’un sourire doux, d’un regard tendre, de larges rires et de quelques mains baladeuses réclamant un câlin. C’était la toute première fois qu’il voyait et entendait un bébé parler, mais ce bébé là, ce serait définitivement son bébé à lui. Du haut de ses six ans, le petit garçon approcha du parc de la petite fille dont il réussi à baisser les barreaux pour l’attraper. Première exclamation « Bha que t’es lourde Caleigh !!! Gros bébé puant va… » Lâcha t’il tandis qu’elle lui souriait amoureusement. Haussant les épaules en esquissant un demi sourire, il la serra contre lui, en se dandinant de gauche à droite pour la bercer en murmurant « Bébé Caleigh… »Profondément endormi, Wyatt faisait encore quelques crises la nuit, heureusement il pouvait toujours compter sur la présence de Caleigh, âgée de onze ans maintenant. Onze longues années pendant lesquelles il l’avait presque élevée comme sa petite sœur. D’ailleurs, la jeune fille ne se gênait jamais pour rejoindre sa chambre et se glisser dans ses bras, et ce même en dehors d’une crise. Non, elle se glissait presque toujours dans ses bras, prétextant mieux dormir et retournant dans son lit au petit matin, avant qu’on ne la découvre dans le dortoir des garçons. Pestant contre le froid, Wyatt restait endormi, jusqu’à ce que la peau froide des pieds de Caleigh ne le réveille. «Mmh.. Caleigh.. Ta chambre est de l’autre coté du couloir.. Tu risques encore de te taper la vaisselle… » Lâcha t’il à une oreille sourde. Il la connaissait assez bien pour savoir qu’elle se fichait pas mal de faire la vaisselle tous les jours, tant qu’elle dormait dans ses bras. Glissant ses bras autour du corps de la jeune fille, il la serra contre lui et embrassa son front comme d’habitude pour l’endormir. « Dors princesse.. » Murmura t’il à son oreille. C’était leur dernière nuit ensemble .. Le lendemain, alors qu’il prenait son petit déjeuné aux cotés de ses amis et compagnons de rugby, Caleigh s’était avancée devant lui, de façon assez inhabituelle. Elle était plutôt mystérieuse pour le coup. Prétextant qu’elle devait lui dire quelque chose d’important, Wyatt sera les poings. Pas d’adoption… Non… Seuls dans le jardin, lui assis sur la balancoire et elle face à lui, elle lui avoua sans hésitation ses sentiments amoureux qui perdurent depuis onze ans. Plus que surpris, Wyatt n’a rien répondu, se contentant de rire à sa déclaration d’amour stupide. Elle n’avait qu’onze ans.. On ne tombe pas amoureuse à onze ans. Blessée, c’est en larmes et en courant qu’elle s’était réfugiée dans sa chambre, refusant catégoriquement de lui parler pendant des jours entiers, jusqu’à ce que deux personnes ne s’adressent à l’accueil pour une adoption. Celle d’un gamin de seize ans, Wyatt. Incapable de répliquer tant la décision avait été prise à la va-vite, il ne pu refuser l’adoption, ni même prévenir Caleigh qui restait constamment dans sa chambre, entre les repas et ne lui adressait pas même un regard. Emmené, il s’était assis à l’arrière de la voiture, regardant l’orphelinat s’effacer dans son dos. Plus de Caleigh, plus de petite sœur, plus de pilier. Il aurait DU s’excuser… Presque dix années plus tard, Wyatt était devenu un homme. Grand, musclé, devenu égérie d’une marque de sous-vêtements qui respiraient le mâle et d’une marque de parfum haut de gamme, il avait plutôt bien réussi dans la vie. Capitaine d’une équipe de Rubgy de haut niveau, il enchainait les match, signait des autographes, se faisait siffler par les filles dans la rue, malgré tout il gardait la tête et les pieds bien ancrés dans la terre. C’est vrai, sa famille d’adoption ne l’avait pas pris comme esclave, il avait été aussi gâté que leur propre enfant mais il lui manquait constamment une partie de lui laissée à l’orphelinat. Caleigh. Elle qui avait tout fait pour ne jamais se faire adopter, s’était retrouvée abandonnée par son plus grand allier, tout à fait à contre cœur. Alors qu’il avait repris le chemin de chez lui, de retour d’un match à quelques kilomètres de là, il avait par le plus grand des hasards croisé son éducateur non loin de l’orphelinat. Il n’avait pas changé comparé à Wyatt qui était loin du petit garçon d’autrefois. Discutant de tout et de rien, ils avaient rejoins l’orphelinat pour une ultime visite histoire d’évaluer les changements effectués en dix ans. Plus de jeux, de couleurs … ils étaient gâtés ces enfants malgré le manque de parents indéniable. La question lui brulait les lèvres, mais il n’eut pas le temps de la poser que l’homme y répondait déjà, comme s’il lisait dans les pensées. « Tu voudrais savoir pour Caleigh n’est-ce pas ? Elle a été adoptée peu après toi. Cette fois elle n’a pas rechigné à accompagner ses parents. » lâcha l’homme. « Je pourrais avoir l’adresse de ses parents ? » « J’ai bien peur que ce soit du secret professionnel Wyatt… » « S’il vous plait… Elle est tout ce qu’il me reste de ma vie d’avant. » Soupirant, jetant un regard par-dessus son épaule, il introduit le mot de passe dans l’ordinateur donnant accès aux dossiers informatisés des enfants adoptés et griffonna quelques mots sur un papier. Une adresse, son adresse. Une immense maison à laquelle personne ne répondait, sans doute étaient ils absents… «Tu cherches quelqu’un petit ? » Lâcha le voisin, grand, trapu et barbu. « Oui, je cherche Caleigh. » « Oh, mais elle n’habite plus ici ! » « Vous auriez son adresse ? » « Bien sur !» Lâcha t’il en lui indiquant le chemin, à deux pâtés de maison de là. Une toute aussi grande maison, mais l’espoir d’enfin retrouver la femme perdue qu’il avait enfin compris aimer depuis toujours. ❝TRUTH OR DARE ? : BE HONEST OR BRAVE❞ Ce matin vous vous êtes réveillé avec une drôle de sensation, en vous regardant dans le miroir vous remarquez que votre corps a un peu changé et en faisant un geste hasardeux vous réalisé qu'il n'y a pas que ça qui a changé. Ça y est vous êtes un super héros ! Quel est votre pouvoir et quelle est la première chose que vous faites ? : Un super pouvoir ? Voyager dans le temps. J'aimerais pouvoir retourner en arrière et corriger mes erreurs. Remonter dix ans en arrière pour tout faire pour ne pas être adopté. Tout faire pour rester aux cotés de Caleigh. Ou mieux encore, remonter le temps de vingt ans, pour retrouver ma mère, la revoir pouvoir l'embrasser encore une fois au moins et l'empêcher de s'arrêter à cette station service où elle a perdu la vie. Mais je sais qu'au fond, si je remontais le temps à ce point, Caleigh n'aurais jamais existé à mes yeux. Et c'est bien ça le plus douloureux. Lors d'une soirée entre amis, on vous met devant le fait accompli avec un jeu que beaucoup connaissent : action ou vérité. Évidemment pour préserver votre jardin secret et parce que ce soir vous vous sentez courageux, vous choisissez "Action". Problème, on vous met face à votre plus grande peur, comment allez vous gérez ça ? : La panique. Ayant tendance aux crises d'angoisses nocturnes depuis l'assassinat de ma mère par sang froid, je supporte difficilement les situation de stress. Ma plus grande peur ? Perdre tout ce qu'il me reste. Non pas la famille qui m'a adoptée, mais la seule personne que je considère réellement comme étant ma moitié. Caleigh. A l'époque, j'avais cinq ans quand elle a débarqué. Je la détestais à première vue, parce qu'elle me réveillait constamment, jusqu'à ce qu'elle ne lâche un énorme Yatt, la bouche en coeur et les yeux d'ange. Elle avait tout pour plaire cette gamine. La prenant sous mon aile comme une petite soeur, je lui avais appris à marcher, à parler, à faire du vélo et même à jouer au Rugby, ou du moins ce que je présentais comme tel pour ne pas qu'elle se blesse. Durant onze ans nous sommes restés inséparables. Onze années réduites à néant par une adoption surprise alors que j'avais seize ans. Les gosses qu'on utilise comme esclave hein.. Tout se passa tellement rapidement que je n'avais ni eu le temps de lui annoncer, ni eu le temps de lui dire au revoir. Parti comme un voleur, kidnappé sans pouvoir saluer la seule fille qui m'aimait vraiment. Et la toute dernière chose que je lui avais dite ? Ne dis pas n'importe quoi. T'es qu'une gamine. T'as que onze ans. Tu peux pas tomber amoureuse à cet âge là, Caleigh. Lequel des sept péchés capitaux vous représente le mieux ? Pourquoi ? : L'envie. Ou la gourmandise, tout dépend. L'explication est assez simple, en tant qu'enfant orphelin, je n'ai connu de ma vie que l'orphelinat dans lequel j'ai grandi, un centre où chaque semaine défillaient des dizaines de couple recherchant la perle rare, un enfant à chérir et à couvrir de cadeau. Des dizaines d'enfants étaient adoptés chaque années, et tout au long des douze années passées au centre, je n'ai jamais été l'un de ces gosse chanceux. Arrivé à quatre ans, j'étais considéré comme trop vieux alors que je savais à peine écrire. Un comble non ? On m'a rapidement expliqué qu'il existait trois sortes d'enfant dans l'orphelinat. Les enfants de 0 à 3 ans facilement adoptable de par leur âge et leur innocence. Les enfants de 4 à 15 ans : Difficilement adoptable car conscient de leur situation d'orphelins et les enfants de 16 à 18 ans, ceux qu'on adopte uniquement pour s'en servir comme esclave. Ainsi va la vie.
PSEUDONYME Laurie Aka Dream AGE Vieille... Bon allez, j'ai 20 balais, ça va encore non ? FRÉQUENCE DE CONNEXION Pour le moment peu, examen oblige mais ensuite presque tous les jours COMMENT ÊTES-VOUS TOMBES ICI ? Via les partenaires d'un forum CREDIT Merci de rendre honneur aux créateurs des images/gifs que vous avez utilisés. COMMENTAIRE Ah que helloooo
Dernière édition par Wyatt S. Hartfield le Lun 2 Juin - 18:31, édité 5 fois |
|